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Balade n°100 - Paris au coeur, la grande boucle

Balade n°100

Paris au cœur, la grande boucle.

 

Départ de la balade place Edmond Rostand, métro Luxembourg.

 


Entrez dans le jardin du Luxembourg par la Porte Médicis, face à la rue de Médicis.
Après le faune, continuez l’allée qui longe les grilles, sur votre droite.




Descendez les cinq marches sur votre gauche.
Où est Polyphème (difficile) ?

 

Après la fontaine, tournez à gauche. Devant le Sénat, dépassez la femme aux pommes, et cherchez la Prudence (difficile).

 

 

Longez le Sénat et les escaliers à votre gauche, puis tournez à gauche le long des grilles.
Eugène est là.

 

 


Encore Eugène !

 

 


Stefan le persécuté (difficile).

 

 



Sortez tout droit du parc par la porte Guynemer.
Tournez à droite rue Guynemer, traversez la rue de Vaugirard et montez les escalier de la rue Bonaparte.
Hongrois rêver !



Trouvez la Paix.

 

 

Tournez à gauche rue Honoré Chevalier, face à la fontaine. Au n° 3 de la rue, notez la superbe lucarne à poulie, sur les toits. A l’époque où l’on se déplaçait à cheval, les chevaux étaient logés dans les écuries, situées dans la cour intérieure des hôtels particuliers. Le grenier servait à l’entrepôt du grain destiné à l’alimentation des animaux. Il constituait aussi un excellent isolant thermique en conservant la chaleur et en l’empêchant de s’échapper par le haut.
Tournez à droite rue Madame.
Faux numéro (difficile).

 

Tournez à gauche rue de Mézières, puis à droite rue Cassette.
Le lion triste.

 

Tournez à droite rue de Rennes, puis à droite rue du Vieux Colombier.
Petit à petit, l’oiseau fait son nid…et donne la becquée à ses petits (très difficile).


 

Dirigez-vous vers la fontaine.

 

 

Cherchez le Foyer (difficile).

 


Retournez-vous vers l’église, et contournez-la sur la droite. Prenez la rue Henri de Jouvenel, puis la rue Férou.
J’ai vu fermenter les marais énormes nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écoulements d’eau au milieu des bonaces
Et le lointain vers les gouffres cataractant !

 


Cherchez le cul-de-sac (difficile).

 

Tournez à gauche rue de Vaugirard.
1/1000è de km  (difficile) !

 

Tournez à gauche rue de Condé, après le Sénat.
Remarquez les trois lucarnes à poulie, dont une très belle sur le toit du 30, rue de Condé.
Compagne de révolutionnaire.

 


Tournez à gauche rue des Quatre Vents.  Ce curieux nom lui vient d’une enseigne d’auberge « Aux quatre vents », représentant les dieux des vents soufflant vers les quatre points cardinaux.
Pour changer de Crèmerie.

 

Tournez à droite rue Grégoire de Tours.

Cherchez Gutenberg (difficile).

 

 

Traversez le boulevard St Germain, et continuez rue Grégoire de Tours.
Numéro 0.

 

Tournez à droite rue de Buci, puis à gauche rue Dauphine.
Cherchez la vieille porte (très difficile).


 

Si la porte du n°34 est ouverte, n’hésitez pas à y jeter un œil. Vous y verrez une ancienne margelle de puits à gauche et deux cours intérieures.
Fréquenté par Juliette et Boris.

 

 

 

Cherchez les deux Bacchus.


 

 

Fin de la 1ère partie de la balade

 

Vous démarrez la seconde partie de la balade devant la statue équestre d’Henri IV, sur le Pont-Neuf.

Descendez les escaliers derrière la statue, et dirigez-vous à droite vers le square.
Ici finirent les Templiers (difficile).


Entrez dans le square du Vert Galant.
Souvenir de la Belle Province (difficile).


Remontez les escaliers, dépassez la statue et empruntez la rue Henri Robert en face de vous.
Vous arrivez place Dauphine. Cherchez les cinq lions (difficile).


Dirigez-vous vers le Palais de Justice rue de Harlay.
Parmi les six statues, cherchez la Vérité.

 

Tournez à gauche rue de Harlay, puis à droite quai de l’Horloge.

Organisme de contrôle judiciaire.

 

Traversez l’avenue Victoria.
Départ de pèlerins.

 

Entrez dans le square.
Cherchez le poète.




Sortez du square rue St Martin et continuez avenue Victoria.
Victoria sous verre !


Sur la façade de l’Hôtel de Ville, cherchez Lavoisier.


Dirigez-vous vers le quai et prenez-le vers la gauche.
Il donna son nom au marivaudage.

 

Tournez à gauche rue Lobau, et à droite place St Gervais.
On s’y donnait rendez-vous depuis le Moyen-Âge.

 

Prenez la rue François Miron.

Ici se trouvait Le Faucheur (difficile).

 

Continuez rue François Miron, puis tournez à droite rue de Jouy.
L’un des douze travaux d’Hercule (difficile).

 

Le petit rémouleur.

 

Prenez la rue Charlemagne.
Cherchez la rue Percée (difficile).


Continuez rue Charlemagne. Tournez à droite rue du Fauconnier.

Nom qu’elle portait déjà en 1625. Ce fut plus tard la rue aux Fauconniers. Cette appellation lui venait d'une maison habitée au XIIIe siècle par le grand Fauconnier du Roi,  gouverneur des oiseaux de proie. Les Béguines de l'Ave Maria y avalent un couvent. Elle se nomma aussi rue de l'Etoile entre le quai des Célestins et la rue de l'Hôtel-de-Ville. Cette partie qui prolongeait la rue des Barres était autrefois désignée : la ruelle descendant au chault du roy (chault = chantier) puis elle devint la rue des Barrières, la petite rue barrée, la rue Tête-Barrée, rue de l'Arche-Doré, rue de l'Arche-Beaufils et enfin rue de l'Etoile, à cause d'une maison dite Château de l'Etoile, qui y était située. Au 2, est le Marché de l'Ave-Maria. Depuis 1868, on a réuni sous le même nom de Fauconnier ces deux tronçons de rue.

Souvenir des Trois Glorieuses (difficile)

 

Tournez à gauche rue de l’Ave Maria.
Bout d’enceinte.

 

Continuez rue de l’Ave Maria. Tournez à gauche rue St Paul, puis à droite rue des Lions St Paul.
Remarquez la belle échauguette à l’angle des deux rues. Petite tourelle placée au coin d’une maison d’habitation, c’est aussi une tourelle de guet lorsqu’elle était placée sur un château fort.

Au n°11 de la rue, c’est l’Hôtel de Sévigné. Madame de Sévigné y résida de 1645 à 1650. Sa fille, madame de Grignan, naît dans cette maison.
Au n°12, en face, se trouve l’Hôtel Amelot, du nom d’un conseiller du roi Louis XIII. Cet hôtel fut transformé en prison pour faux-monnayeurs durant la Révolution.

Ils ont donné son nom à la rue.

 

Tournez à droite rue du Petit Musc. Ici encore, le nom de la rue réserve une surprise. Rien à voir avec le musc dont s’aspergeaient les belles dames du Grand Siècle. La vérité est beaucoup plus crue… En réalité, ce curieux nom nous vient du Moyen-Âge. A l’époque, de nombreuses prostituées vivaient dans ce quartier, encore largement envahi par des marais (d’où le nom du quartier). En effet, le marché des Champeaux (les premières halles de Paris, créées par Philippe Auguste au XIIIè siècle) se trouvait à proximité, et ces dames y exerçaient le plus vieux métier du monde en toute liberté. La rue du Petit Musc était en fait « la rue de la pute y muse », c’est-à-dire qui y musardait (qui s’y promenait). La tradition orale de transmission de l’information, qui se propageait de père en fils et de mère en fille au fil des siècles explique ces déformations des noms de rue, très courantes dans Paris.
Traversez ensuite le quai des Célestins, et longez le square Henri Galli devant vous.
Vestige du 14 juillet (difficile).

 

Traversez le pont Sully, puis tournez à droite rue St Louis en l’Île.
Il découvrit le principe de l’éclairage et du chauffage par le gaz.

 

Un Poulletier qui a perdu son L.

 

Loix et actes de l’autorité publique.

 

Quand deux maîtres se font face (difficile).

 

Maître glacier.

 

Tournez à gauche rue des Deux ponts.
Vieux marchand de vins (difficile).

 

Traversez le pont de la Tournelle.
Vous êtes devant la Tour d’argent.
D'après l'historique non documenté fourni par le restaurant, en 1582, Rourteau, grand chef cuisinier, fonde le restaurant « L'Hostellerie de La Tour d'Argent » au cœur de Paris avec vue « exceptionnelle » sur la Seine et sur la cathédrale Notre-Dame de Paris, près du château de la Tournelle, dans une tour de style Renaissance pailletée de mica dont la brillance donne le nom à l'établissement. Le roi Henri III y aurait découvert la fourchette, instrument à trois pics utilisés par des gentilshommes italiens attablés dans l'établissement. Le roi Henri IV devient un habitué des lieux et vient y déguster poule au pot ou pâté de héron après ses parties de chasse.

La même version veut qu'au XVIIe siècle, Louis XIV et toute sa cour viennent y manger depuis le château de Versailles, et le cardinal de Richelieu aime y déguster une oie aux pruneaux. Le duc de Richelieu y fait accommoder un bœuf entier de trente façons différentes (Bœuf Richelieu) et Madame de Sévigné vient y déguster du chocolat.

Toujours suivant cette version officielle, au XVIIIe siècle (siècle des Lumières), La Tour d'Argent est l'un des fleurons de la cuisine française, jusqu'à la Révolution française où elle est saccagée par les révolutionnaires et fermée.

La spécialité de ce restaurant est le canard au sang. Ceux-ci sont numérotés. Le 100 000è fut servi en 1929 et les 1 000 000è en 2003.

Fin de la deuxième partie de la balade.

Tournez à droite quai de la Tournelle.
Ancien hôtel.

 

Tournez à gauche rue de Poissy, traversez le boulevard St Germain et continuez rue de Poissy.
Profitez-en pour visiter le Collège des Bernardins. Récemment rénové, c’est un joyau de l’architecture médiévale cistercienne.

Cherchez le space invader.

 

Montez les escaliers et tournez à droite rue des Ecoles.
On y enseigne plusieurs techniques.

 

Remontez la rue Monge, puis continuez rue des Ecoles. Entrez dans le square et cherchez St Victor.

 

En sortant du square, prenez la rue des Ecoles à gauche. Tournez ensuite à gauche rue de la Montagne Ste Geneviève.

Cherchez les deux nefs.


Tournez à gauche rue Descartes et cherchez les fleurs de lys.

 

Les quatre sergents guillotinés.

 

 

Ce poète amoureux d’Arthur Rimbaud décéda ici en 1844.

 

Si la porte du 47, rue Descartes est ouverte, jetez-y un œil. Vous y verrez un pan de l’enceinte de Philippe Auguste au fond du couloir.

Continuez rue Mouffetard.
Son nom vient d'une déformation du mot « mofette », ce dernier signifiant alors exhalaison pestilentielle ou odeur insoutenable. La proximité de la Bièvre, où travaillaient les tanneurs, les teinturiers et les peaussiers, explique en grande partie cette puanteur.

Où sont les Compagnons ?

 

Ancien jeu de quilles (difficile).

 

Tournez à droite rue de l’Arbalète. Cette rue créée au XIVe siècle a subi de nombreux changements et porté de nombreux noms tels que rue des Sept-Voies au XIVe siècle et rue de la Porte-de-l'Arbalète au XVIe siècle. En 1844 elle prend le nom de rue de l'Arbalète en raison de la présence historique d'un ancien tir à l'arbalète. En 1924, elle trouve sa forme définitive avec l'ouverture du dernier tronçon reliant la rue Mouffetard à la rue des Patriarches.
Traversez la rue Claude Bernard, et prenez-la à droite. Tournez à droite rue Vauquelin.
Villa en petits morceaux.

 

 

Numéro atomique 88, symbole Ra (difficile).

 

Tournez à gauche rue Pierre Brossolette, puis continuez rue Erasme.
Quand Pasteur, Tannery et Ste Claire-Deville sont côte-à-côte.


Tournez à gauche rue d’Ulm, puis à droite rue Thuillier.
Tournez à droite rue Gay-Lussac, puis à gauche rue de l’Abbé de l’Epée.
Charles-Michel de L'Épée, appelé l'abbé de L'Épée, né le 24 novembre 1712 à Versailles et mort le 23 décembre 1789 à Paris (paroisse Saint-Roch), est un prêtre français, l'un des précurseurs de l’enseignement spécialisé dispensé aux sourds.
Traversez la rue St Jacques et continuez dans la rue de l’Abbé de l’Epée.
Cherchez les pattes griffues (très difficile).

 

Il sauva la vie de millions d’hommes (difficile).

 

Labeur sans soin, labeur de rien (très difficile).

 

Tournez à droite boulevard St Michel.
Ce César connaissait la musique (difficile).

 

On peut l’avoir, bonne, mauvaise, ou de rien (difficile).


Il inventa l’ancêtre du smartphone.

 

Souvenir allemand (très difficile).

 

Fin de la troisième partie de la balade. 

Vous êtes arrivé (s) au RER Luxembourg.