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Balade n°55 De la Poterne des Peupliers à l'Observatoire (solution)

Balade n°55

(solution)

De la Poterne des Peupliers à l’Observatoire

 

Départ de la balade à la Poterne des Peupliers. Prenez la rue des Peupliers, après le pont.

 

Prenez à droite rue du Docteur Landouzy. Combien d’enfants ?

Six enfants, et leur maîtresse, décorent la façade du jardin d’enfant, à l’angle de la rue du Docteur Lecene.

Arrivé sur la place, prenez à droite la rue du Docteur Lucas-Championnière, puis à gauche la rue Damesme. Tournez ensuite à gauche dans la rue du Docteur Leray, à droite rue Dieulafoy, puis à gauche rue Henri Pape. Elle sort du mur (difficile).

Sur le porche du 2, place de l’Abbé Georges Hénocque (siège de la Mutuelle Générale des Cheminots), une locomotive semble sortir du mur et se ruer sur vous.

Prenez à droite la rue des peupliers. Deux léonidés surveillent la maison.

Au 6, rue des Peupliers, deux lions sculptés sont assis contre le balcon du 2ème étage.

Tournez à gauche rue du Moulin des Prés. Entrez dans le square des Peupliers, et cherchez les trois palmiers..

A gauche, à côté de l’entrée du n°3, trois palmiers sont représentés sur un carreau.

Cherchez Legrand.

C’est le nom de l’architecte de la maison du n°11.

Chat lunatique.

Plaque au n° 15.

Sortez du square et remontez la rue à gauche. Traversez la rue de Tolbiac, puis prenez la rue du petit moulin à droite. Dans le square, onze rouges affrontent onze bleus.

Après avoir tourné à droite dans la rue du Moulinet, entrez dans le square. Vous y trouverez un baby-foot en béton, en haut de quelques marches.

Sortez du square par la rue Henri Michaux, par la gauche, puis prenez à gauche rue Vandrezanne. Fleurie et souriante.

Au 37 rue Vandrezanne, un buste représente une jeune fille souriante, couronnée de fleurs.

Prenez la rue de la Butte aux Cailles. Marchand de galoches.

La Butte aux Cailles tient son nom non pas des volatiles, mais d’une famille de fermiers qui l’habitait au Moyen-Âge. La butte était alors couverte de moulins Quant aux galoches, on voit l’ancienne publicité sur la façade de la maison située à l’angle de la place Paul Verlaine.

Tournez à droite rue Alphand. Dieux et déesses ?

Au 2ème étage du 11 rue Alphand, six têtes d’hommes barbus et de femmes ornent la façade.

S’adresser à côté (difficile).

Une minuscule plaque émaillée à côté de la porte du 28 rue Alphand vous invite à vous adresser au 28 bis.

Prenez la rue Le Dantec en face. Tournez ensuite à gauche sur le boulevard Auguste Blanqui. Le Monde est sous vos yeux.

L’immeuble du journal « Le Monde » est de l’autre côté du boulevard et du métro aérien. Une première page gigantesque du quotidien recouvre toute la façade de l’immeuble.

Continuez sur le boulevard pendant environ 500 mètres, puis tournez à gauche rue Ferrus, puis à droite rue Cabanis. Cherchez Jeannot (difficile).

Plongée éprouvante et émouvante dans la folie d’un homme. Le Plancher de Jeannot (exposé en face du n°30 de la rue Cabanis est un morceau de parquet de 15 mètres carrés, gravé de 80 lignes de lettres capitales et poinçonnées réalisé en 1971 par Jeannot le Béarnais (1939-1972). Jeune paysan béarnais, Jeannot effectue son service militaire en Algérie en 1959. À son retour, il apprend le suicide de son père, un homme violent. À la mort de sa mère en 1971, il l'enterre sous l'escalier familial, arrête de s'alimenter et commence à graver le plancher de sa chambre d'un long texte. Il meurt quelques semaines plus tard à 33 ans.
Ce plancher gravé est découvert en 1993 et un psychiatre retraité, le Dr Roux, en fait l'acquisition. Il y voit un exemple de « psychose brute ». Quelques années plus tard, il le vend au laboratoire Bristol-Myers-Squibb. Dès lors, le plancher va être considéré également comme un témoignage d'art brut. Par la suite, le plancher est régulièrement exposé, notamment en octobre 2005 à la Bibliothèque nationale de France et finalement cédé au Centre hospitalier Sainte-Anne à Paris, en grande partie grâce à l'insistance du professeur Jean-Pierre Olié, chef du service hospitalo-universitaire, qui souhaite l'exposer pour combattre la honte et les préjugés qui pèsent sur les maladies mentales.

Tournez à droite rue Broussais, puis à droite rue Dareau. Tournez à gauche rue Emile Dubois, puis à gauche rue de la Tombe-Issoire, puis à droite Villa St Jacques. Combien de cavaliers ?

Au 1er étage du 12 Villa St Jacques, une fresque représente 10 cavaliers.

Traversez le boulevard St Jacques, puis la place St Jacques. Les prolétaires ne sont plus ici.

Au 77 rue du faubourg St Jacques, une enseigne gravée rappelle l’existence d’une société « L’avenir du prolétariat ».

Arago (presque) disparu !

Le projet, réalisé en 1994, fut proposé par l'artiste néerlandais Jan Dibbets et prend la forme de 135 médaillons de bronze. L'idée de Jan Dibbets était de réaliser un monument qui évoque la personnalité commémorée (François Arago avait travaillé sur le système métrique, lié à la mesure du méridien de Paris) et reprenne un matériau traditionnel des statues, tout en n'étant délibérément pas monumental. 134 de ces médaillons sont donc placés sur le tracé du méridien de Paris, du Nord au Sud de Paris, et sont incrustés dans le sol, tandis qu'un dernier médaillon est scellé à la verticale sur le socle de l'ancienne statue de François Arago. Située place de l’Île-de-Sein, c'est-à-dire là où le méridien de Paris coupe le boulevard Arago, elle fut démontée et fondue par l'occupant allemand pendant la Seconde Guerre mondiale pour fabriquer des armes.

 

Endroit plein de gens lettrés.

Société des Gens de Lettres, au 38 rue du faubourg St Jacques.

Prenez la rue Cassini à gauche. Au-dessus du musicien, cherchez la potence.

Au 3 de la rue Cassini, au-dessus du porche, une scène est sculptée, représentant un joueur de mandoline. Au 4ème étage, une potence métallique subsiste. Elle devait supporter une poulie qui servait à lever de lourdes charges.

Cherchez Le Verrier.

L’astronome est statufié dans la cour de l’Observatoire.

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